La France
LyonDe par sa situation géographique plus qu’intéressante, Lyon n’a pas trop souffert des guerres qui ont ravagé la France et une grande partie à été reconstruite par les vampires qui s’y sont établis. Alors que sur la colline de Fourvière, les ruines gallo-romaines abritent les vampires errants, laissant la Presqu’île et les quartiers Renaissances au plus aisés. Ici, les humains se terrent où ils peuvent, et s’ils sont principalement massés de l’autre côté du Rhône, plus moderne mais ravagés, ils restent éparpillés en périphérie.
BordeauxBordeaux, ses vignes, sa grande rue commerçante, ses monuments. Etrangement, la ville n’a pas tant changé que ça, et l’on retrouve encore aujourd’hui cette drôle de tortue, place de la Victoire, gardant l’obélisque sans faillir. La ville est perdue au milieu des cépages, et, au fond, assez semblables aux autres grandes villes. Les vampires ont investi les lieux les plus importants et laissé la vieille ville, plus vers le sud, aux humains.
CannesDe Cannes, on connaît surtout la croisette et le festival qui revient chaque année. Mais Cannes, ça n’est pas que ça. Ça n’est pas que des stars et des touristes. C’est aussi des gens qui y vivent toute l’année, et, contrairement à beaucoup d’autres villes, une population humaine bien plus importante que la population vampirique. Cannes, c’est une ville qui n’a pas toujours été épargnée par les affrontements mais qui, contrairement à Lyon qui abrite plus de buveurs de sang que d’hommes, voit sa vie nocturne relativement paisible. Pour un temps de guerre, bien sur.
OrléansOrléans, ville de Jeanne la Pucelle. Si sa sœur du nouveau monde est réputée pour être un nid de buveurs de sang, ça n’est pas son cas. Pas plus qu’ailleurs, en tous cas. Bien sûr, il y a une bonne part de vampires , mais la population croyante étant particulièrement importante ici, la ville conserve une humanité certaine. En revanche, elle a beaucoup perdu de sa splendeur et de sa richesse. Orléans aujourd’hui est terne, et les visiteurs se sont fait un peu plus rares, même si ceux qui ont la Foi se rendent encore dans cette ville au fort patrimoine religieux.
RennesDerrière les portes Mordelaises, toujours debout malgré les années, se trouve Rennes qu’elles protègent. Ou qu’elles protégeaient, plutôt, le mal étant aujourd’hui dans la ville. Car à Rennes comme ailleurs, les vampires sont partout. Les maisons à colombage qui formaient le cœur historique de la ville ont été détruites par des années de guerres et d’explosions ou d’incendie, laissant la place pour un ghetto et le marché noir de la ville, bien plus humble que celui de la capitale. Les humains se tassent dans les ruines et les vampires ont envahi les beaux quartiers, laissant penser que la guerre est belle et bien finie.